Boîte à outils

Comment se portent nos jeunes? Leur santé mentale, leur consommation, leur temps d’écran, leur intérêt pour l’école et leur conciliation études-travail…

Le 8 février dernier, la Dre Mélissa Généreux présentait les faits saillants de l’Enquête sur la santé psychologique des 12-25 ans, menée en janvier dernier avec la contribution de la Direction de santé publique et de quatre externes du doctorat en médecine de l’Université de Sherbrooke. Parmi les principaux constats : Bien que la santé mentale des jeunes semble s’être quelque peu améliorée au cours de la dernière année, elle demeure toujours moins bonne qu’avant la pandémie.

Ces deux feuillets présentent une synthèse des données issues de l’enquête sur la santé psychologique des 12-25 ans menée en janvier 2023  avec la contribution de la Direction de santé publique et de quatre externes du doctorat en médecine de l’Université de Sherbrooke.

• Infographie de l’ensemble des établissements collégiaux et universitaires participants
• Infographie de l’ensemble des écoles participantes des 4 régions (écoles secondaires, centres de formation professionnelle ou centres de formation générale aux adultes)

Cette enquête a été réalisée par trois étudiants en médecine de l’Université de Sherbrooke en stage à la Direction de santé publique de l’Estrie en janvier 2022 sous la supervision de Dre Mélissa Généreux. Elle s’inscrit en continuité d’enquêtes similaires réalisées en janvier 20201 (Estrie seulement) et janvier 20212 (Estrie et Mauricie–Centre-du Québec).

Six thèmes ont été examinés, à savoir la 1) la santé psychologique, 2) l’optimisme, 3) la consommation de substances, 4) l’attrait pour l’école, 5) la conciliation études-travail, 6) les impacts perçus de la pandémie sur différentes sphères de la vie et les pratiques de rétablissement.

Devant le bouleversement de nos habitudes de vie imposé par la pandémie actuelle, la santé psychologique préoccupe plus que jamais les autorités, encore plus quand il s’agit des jeunes. Dans cette optique, la Direction de la santé publique de l’Estrie a mandaté deux étudiantes et un étudiant du programme de doctorat en médecine de l’Université de Sherbrooke pour procéder à une vaste enquête sur la santé psychologique des jeunes du secondaire, du collégial et du milieu universitaire.

Diagnostic sectoriel de l’industrie des technologies de l’information et des communications ayant pour objectif de chiffrer et de brosser le portrait de l’écosystème de se secteur au Québec.

Ces données pourront aider à adapter les pratiques en gestion des ressources humaines du secteur des TIC, ainsi qu’accroître la qualité de l’information sur le marché du travail et la promotion des carrières.

Le rapport offre un portrait de l’évaluation des effets de la pandémie sur le choix de carrière des jeunes en nous basant sur des données récoltées auprès de 3 200 étudiants québécois âgés de 14 à 30 ans.

Une comparaison est aussi disponible sur la situation avec celle des jeunes des autres provinces canadiennes. Des pistes de solution sont aussi proposées pour les familles dans l’accompagnement du choix de carrière de leur jeune.

Ce sondage s’inscrit dans une série d’enquêtes récemment parues et réalisées par d’autres acteurs soucieux des problématiques que traversent actuellement les jeunes, notamment à propos de l’impact de la pandémie sur la santé mentale et le bien-être des jeunes.

Il permet de mieux comprendre les jeunes et travailler ensemble à trouver des solutions pour les amener à développer leur plein potentiel et à prendre leur place dans la société et le monde du travail.

Ce rapport a ainsi pour ambition d’outiller les acteurs gravitant autour des jeunes – intervenants jeunesse, parents, etc. – mais également les employeurs afin de leur donner des clés sur les aspirations professionnelles des jeunes pour les soutenir au mieux dans leur réflexion.

La préoccupation d’accroître le nombre de femmes en génie et de rendre ce domaine d’étude plus équitable et inclusif est bien réelle au Québec et au Canada.

Le rapport Collaborer pour une meilleure mixité en génie à l’université constitue un outil complet sur lequel s’appuyer pour passer à l’action dans le milieu universitaire.

En 2022-2023, R3USSIR a réalisé trois collectes de données pour mieux comprendre les sources du manque de personnel pour 5 professions priorisées en Estrie, soit mécanicien(ne) en maintenance industrielle, électromécanicien(ne) et technicien(ne) en génie mécanique, technicien(ne) en réseau informatique et programmeur(euse)/développeur(euse) en médias interactifs. Les trois collectes visaient chacune une cible différente: une les élèves potentiels pour les programmes menant à ces professions, une autre les employés qualifiés qui exercent ces professions et la dernière des entreprises qui œuvrent dans les secteurs touchés par ces professions.  

Voici le rapport des résultats issu de la collecte auprès des élèves de la fin secondaire et de la formation professionnelle.